Collection Jeune – Vieux. Le Cerisier (1/1)

Ma vie de femme a commencé un joli jour du mois de juin, au moment de la cueillette des cerises.

• Julie, tu m’as toujours proposé de venir m’aider depuis que ma femme est décédée, c’est le cas aujourd’hui, pourrais-tu venir en début d’après-midi cueillir mes cerises, elles sont mûres à point.
• Oui, monsieur Léon, j’aurais plaisir à vous rendre service, je me souviens du temps de votre femme, vous nous donniez tout le temps des sucettes, nous en raffolions.

C’est ainsi que l’après-midi, je sonne chez lui, un petit moment et il ouvre.

• Merci d’être là, Julie, je vois que tu profites du soleil, tu portes un joli maillot de bain, regarde-moi, je suis tors nu et en short avec mes tongs, j’étais sur mon transat au bord de ma piscine.
• Vous êtes-vous déjà baigné ?
• Non, je rêve en regardant l’eau, Jennifer en cette période aurait déjà plongé, je l’ai vu se baigner dans le torrent en Haute-Savoie, en plein hiver avec notre ami Nicolas, l’eau était à moins de 2°.
• Vous me charriez, monsieur Léon, moins de 2° en plein hiver, c’est un coup à attr la mort.
• Ça été le cas, il y a cinq ans, mais c’est une leucémie qui l’a ratatiné en quelques semaines.
Dis-moi, tu es en vacances.
• Oui et non, oui, car j’ai passé mon Bac, mais je l’ai loupé et non, car j’arrête d’étudier, je cherche du travail même des ménages.
• C’est pour cela que tu as accepté de cueillir mes cerises, si tu veux gagner quelques euros pour sortir en boîte maintenant que tu es majeur depuis la semaine dernière, au travail, j’ai placé l’échafaudage qui va te permettre de monter jusqu’à plus de quatre mètres.
• Vous pourriez les cueillir vous-même monsieur Léon !
• Je vais être franc, j’ai le vertige depuis tout petit, j’ai cueilli celles à ma hauteur, mais je suis incapable à récupérer les plus hautes, c’est bête, mais c’est ainsi, on est fait comme la nature le choisit.


• J’ai toujours vu de la fenêtre de ma chambre, votre cerisier, comment faisiez-vous les autres années ?
• Avant, c’était Jennifer qui les cueillait, depuis cinq ans que je suis seul, elles pourrissaient sur l’arbre, cette année, j’ai pensé à ta proposition et comme j’ai eu la chance de te croiser, tu es là.
• Je me mets au travail, remettez-vous sur votre transat, nous les jeunes, il faut savoir aider nos anciens.
• Surtout, quand ils sont généreux.

Je monte sur l’échafaudage, il est sur des roulettes et au bout de deux heures, j’ai cueilli plusieurs sacs de supermarché de cerise.

• Julie, viens boire une orangeade, je vais en chercher dans mon frigo à moins que tu préfères une bière comme moi.
• Oh ! monsieur Léon, pas d’alcool, il faut que je finisse le dernier sac et le dernier coin de cerise.

Il va chercher les boissons, le temps que je descende, il se rallonge sur sa chaise longue.

• Tu es en maillot, je vois que tu es en sueur, un bain te ferait plaisir !
• Non, monsieur Léon, merci.
• Assieds-toi sur l’herbe, près de moi, si nous bavardions ensemble un petit moment, tu pourrais finir après, bien que tu aies bien travaillé.

Je m’assieds, je suis à portée de son short qui forme une jolie bosse, mais il pourrait être mon père et en plus, le sexe et moi cela fait deux, un certain malaise s’installe, aucun de nous avons l’idée de quelle conversation nous pourrions entamer.

• Quel effet cela te fait d’avoir dix-huit ans et d’être majeur, ton petit copain doit savoir te satisfaire, sans le risque d’avoir ton père sur le dos.
• Détrompez-vous, monsieur Léon, aucun petit copain, je suis vierge et vous avec votre femme vous aviez déjà perdu votre pucelage, la première fois où vous l’avez fait avec elle ?
• Non, dans notre temps, la pilule était inexistante et nous avions peur que les filles se retrouvent enceintes, c’est le soir de nos noces que nous nous sommes dépucelés.

• Vous avez tout de même eu d’autres femmes dans votre vie, surtout depuis qu’elle est partie dans l’au-delà !
• Non, cela me pèse, mais je suis resté fidèle, bien sûr si une jolie fille comme toi, voulais que nous passions un petit moment ensemble, comment fermer les yeux et dire non, mais j’ai conscience de notre différence d’âge.
• Vous êtes loin d’être vieux, monsieur Léon, puisque nous parlons de cela, je vais vous demander une chose comme un service, pourriez-vous me faire voir votre verge, cela va vous paraître bizarre, mais bien que je sois majeur, à part en dessin, j’ignore comment ça se présente.
• Tu sais que tu prends des risques, regardes la bosse sous mon short, je commence à bander.
• Je verrais mieux, ainsi quand je verrais celle d’un garçon, j’aurai moins d’appréhension.

Il baisse son pantalon, c’est vrai que c’est la première que je vois, par chance, c’est un beau morceau.

• Regarde, Jennifer avait de la chance, développé elle fait 25 centimètres, certains en ont qui vont jusqu’à 40 centimes, surtout des noirs.
• Mon Dieu, c’est impressionnant et votre femme se laissait rentrer un tel engin dans le vagin.
• La première fois, elle a eu mal, surtout que j’ai été un peu brusque par manque d’expérience, mais avec de la pratique et le nombre de fois que nous avons fait l’amour, j’ai l’outrecuidance de penser qu’à chaque fois, elle a joui.
• Vous lui enfiliez souvent !
• Cela dépendait de nos envies à l’un et à l’autre, mais en moyenne deux fois par semaine.
• J’entends mes parents quand ils baisent, eux, c’est maxi une fois, mais par mois.
• Quand tu étais petite, tu devais dormir comme tous les s, tu ignorais ce qu’il le faisait.
• J’espère pour eux, je peux la toucher !
• J’adorerais, mais tu es ma petite voisine, je t’ai fait venir pour mes cerises, pas pour mes noix.
• Vous avez de l’humour monsieur Léon, je pense que vous parlez de vos testicules, nous en avons parlé en cours d’éducation sexuelle et je me souviens que Pierre Perret parlait « de son institutrice qui dessinait, le p’tit chose et les deux orphelines.
»
• Oui, je vois que tu as bien retenu ta leçon, dommage pour ton bac, cette question t’aurait donné des points.
• Nous avions vu une image de l’appareil génital de l’homme et elles étaient bien moins grosses que vos noix, vous c’est plutôt des balles de tennis.
• Sois sérieuse Julie, tout au plus des boules de billard.

Pendant cette conversation, j’avance ma main, je l'att, il est bien raide, il a un mouvement qui me surprend.

• Je vous ai fait mal.
• Non, au contraire, ta main sur moi m’a surpris, mais continue, fait descendre et monter ma peau sur ma verge, tu masturbes très bien.
• C’est chaud, votre gland est bien détaché du corps de votre verge, c’est impressionnant, je suis contente de vous avoir demandé que vous me la montriez !
• On m'a circoncis, pas par religion, mais après notre mariage, chaque fois qu’avec Jennifer, je la prenais, je me déchirais le filet ayant du mal à décalotter.

C’est à ce moment que je le vois se tendre et qu’il éjacule son sperme me tombant sur la main.

• Je m’excuse, ta main était si douce, que mon corps a réagi et de te prévenir que ça allait partir.
• Quel goût cela a, votre femme avalait quand elle vous suçait ?
• Tout doux ma petite, tu rentres dans notre intimité, crois-tu que toutes les femmes sucent leur mari !
• Maman le fait à papa, un jour où ils me croyaient parti chez ma grand-mère, je les ai vus dans notre jardin derrière ce mur, elle le suçait, il bandait, mais sa verge m’était cachée d’où j’étais, il lui a envoyé des jets de sperme dans sa bouche.
Elle a tout avalé, je l’ai entendue déglutir, j’ai vu qu’ils avaient terminé et qu’ils allaient rentrer, je me suis sauvé.

Je me suis approché, je tenais toujours sa verge dans ma petite main, je l’ai mise dans ma bouche, avec du mal vu sa grosseur et je l’ai intégralement nettoyée.

• C’est un peu fade, mais loin d’être désagréable, qu’en pensez-vous.

• J’ignore qu'en penser, Jennifer aurait pu te le dire, mais moi, je t’ai dit, j’ai eu seulement de ma femme dans ma vie, sûrement pas un homme que j’aurais sucé.
• J’aurais dû y penser, vous avez raison, bien que monsieur Laurent, l’instituteur suce la bite de son collège Didier.
• Les instituteurs sont homos, les as-tu vus !
• Non, mais ils vivent ensemble dans le logement de fonction, ils parlent de se marier dès que le mariage pour tous sera proclamé.
• Tu en sais des choses sur notre village, j’ignore tout, car à part mon pain que je vais chercher à la boulangerie, je vais en ville au supermarché.
• Vous bandez de nouveau monsieur Léon.
• Tu as continué à me masturber, je suis un vieil homme, mais je suis encore vert.
• Vous vous trompez, vous êtes bien rose et votre gland est tout violacé, j’adore vous masturber, tout en vous suçant !

Une nouvelle fois, monsieur Léon s'est mis à haleter.

• Restez comme vous êtes, vous allez me dépuceler.

Je deviens de plus en plus entreprenante, j’espère que ce que nous avions commencé à faire arrivera, j’avais une petite idée derrière la tête.
J’ai enjambé le corps de cet homme qui allait faire de moi une femme, je me suis laissé descendre, il est naturellement entré en moi.
Contrairement à ce qu’il m’a dit, si Jennifer a eu mal, pour moi, ça se passe bien.

• Ces bons, monsieur Léon, vous êtes entré, vous pouvez y aller, je prends la pilule, regardez, j’étais bien vierge, je vois le sang sortir de ma minette.
• Merci de m’avoir donné ton hymen, je vais te récompenser, les cerises et ta virginité, ça vaut bien quelques euros !
• Monsieur Léon, me prenez-vous pour une pute ?
• Pas le moins du monde, mais je veux que tu puisses t’habiller moderne, ça me fait bander.
• Vous êtes un coquin, monsieur Léon, attendez, je sens que ma jouissance arrive, là encore, à part mon doigt, vous êtes le premier.

J’ai un orgasme, il décharge en même temps.

• Monsieur Léon, que vous arrive-t-il ?

Nous l’avons enterré trois jours plus tard, rupture d’anévrisme, c’est son fils qui l’a trouvé dans son relax en venant pour le week-end, je lui avais nettoyé la queue, non, pas avec ma bouche, mais un linge que j’avais été chercher.
Les cerises m’ont posé un problème, monsieur Léon avait un puits, j’ai tout balancé dedans.
Je me suis éclipsé, son fils a emménagé à sa place, il montre des attributs du même genre que son papa, je me verrais bien habiter dans cette maison, il a 29 ans.

• Mes condoléances, monsieur Gille !

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